29-03-2024 04:45 PM Jerusalem Timing

Les camps de concentration aux Etats-Unis

Les camps de concentration aux Etats-Unis

Des camps qui devaient recevoir les éventuelles victimes des catastrophes à venir

Savez-vous ce que c’est que FEMA ? Non, je n’entends pas FEMEN que vous connaissez tous ni autres théories du genre, mais la redoutable FEMA américaine qui se déchiffre comme Federal Emergency Agency, ce qui donne effectivement en français le Ministère des Urgences, un organisme gérant les situations catastrophiques.

Par une journée de janvier 2014, un groupe de tournage d’une télévision locale d’Atlanta est allée filmée des centaines de milliers de cercueils noirs, de modèle militaire, stockés dans un ancien champ de blé. Le premier à avoir découvert le pot aux roses a été un camionneur de la région appelé Dale Bohannon qui a été tétanisé par cette image apocalyptique des corbillards disposés à même le sol par rangements compacts. La taille de corbillards est telle que trois corps peuvent y rentrer sans problèmes.

Ces boîtes sont en plastique armé et, selon les enquêtes de journalistes russes et américains, il y en aurait suffisamment dans ces centres funèbres, pour enterrer 2.000.000 de personnes au plus bas mot du terme.

A qui sont-elles destinées ? Pourquoi FEMA qui s’en est avéré la détentrice n’a pas éventé la création de ces réserves morbides ? L’Amérique se prépare-t-elle à la guerre ? Comme de bien entendu, la liberté de presse aux Etats-Unis n’est pas toujours au rendez-vous. Tout le monde se tait bien prudemment dans son coin par peur de représailles !

Mais si les cercueils sont naturellement destinés à des cadavres, FEMA a préparé un plat de résistance pour les Américains ou étrangers qui resteront en vie. Grâce à un grand nombre de sources en russe et en anglais disponibles par internet, les Etats-Unis ont construit plus de 800 camps de concentration à travers leur pays. Si on met tous les points sur la carte, elle en serait grêlée !
Ces lieux d’incarcération sont aussi énormes que le nombre de cercueils stockés. Un seul de ces camps pourrait accueillir avec gîte et couvert jusqu’à 500.000 personnes.

Résolument l’Amérique tourne en un rêve qui déchante, pour ne pas dire un cauchemar ! Les camps sont parfaitement en état opérationnel : avec des barbelés, des miradors, des centrales électriques, voies d’accès et même, pour le camp se trouvant en Arizona, un chemin de fer qui court jusqu’à l’entrée principale (ce qui n’est pas sans rappeler la terrible image d’Auschwitz) !

Ces camps sont munis de baraques sans fenêtres, cantines et lieux de travail. Ils sont encore vides comme s’ils attendaient patiemment leur clientèle. Vides mais bien gardés par la même FEMA !

A la question qui a été adressée aux services de presse par des collègues ébahis, les fonctionnaires de FEMA n’ont trouvé rien de meilleur que de répondre que ces camps devaient recevoir les éventuelles victimes des catastrophes à venir. Si c’est le cas, se sont demandés les journalistes, pourquoi alors les zones de sécurité sont tournées en direction du périmètre intérieur comme s’il s’agissait de ne point protéger mais plutôt d’éviter l’évasion ? Pourquoi ces camps se trouvent dans des endroits éloignés de la civilisation ? Et qui attendent-ils au juste ?

Aucune réponse tangible ne fut encore donnée à ce jour. Et comme l’information arrive toujours en masse, j’avais également mis la main sur une source qui parle de 200.000 sarcophages en béton armé pour enterrements rapides. Vous faut-il faire vraiment une image pour que vous compreniez que ces cercueils et sarcophages seront la dernière étape de l’existence des prisonniers de ces centres de détention !

Et comme on vient de découvrir que les Etats-Unis affectionnaient la torture, on ne sera pas étonné d’apprendre que la Constitution américaine l’autorise légalement. Il est également intéressant d’apprendre que la loi américaine peut très bien signer la directive PDD 51 permettant d’annuler toutes les libertés civiles et introduire l’état de siège. Les juristes américains ont repris également un chef d’inculpation qui était de mise dans la Russie stalinienne des années trente : l’ennemi du peuple (pour les Américains, il est littéralement appelé l’ennemi intérieur. Est reconnu comme « ennemi intérieur » toute personne mécontente de l’état actuel des choses aux States et luttant activement pour ses droits. Autrement dit, il s’agit des dissidents.

Un professeur de droit français, Olivier Tournafond, monarchiste actif et défenseur des valeurs traditionnelles, se plaît à répéter que le monde a changé de pôles : si avant on avait peur de l’URSS, maintenant la zone la plus noire est incarnée par Washington. Quoi qu’il en soit, il est sûr que les Etats-Unis rêvent d’en découdre. Sinon, pourquoi avoir construit des zones entourées de barbelés et préparé les corbillards ?

Décidément le monde nous réserve encore bien de surprises !