La porte-parole de la FINUL, Candice Ardiel, a déclaré que « la mission mettra tout en œuvre pour atténuer les conséquences négatives que les restrictions budgétaires pourraient avoir sur ses opérations ».
La FINUL a expliqué que « les coupes budgétaires pourraient entraîner une réduction des effectifs, mais qu’elle continuera d’exécuter son mandat, conformément à la résolution 1701, jusqu’à fin 2026 », réaffirmant « son engagement à maintenir la stabilité dans la région et à mener à bien ses missions sur le terrain ».
Auparavant, dans un entretien accordé à la chaine satellitaire libanaise Al-Mayadeen, Mme Ardiel a souligné que la présence des forces israéliennes au Sud-Liban constitue une « grave violation et empêche le déploiement de l’armée libanaise dans la zone », faisant remarquer qu’elle entravait la circulation et la liberté de mouvement.
Elle a également insisté sur le fait que « la coopération avec l’armée libanaise a toujours été étroite et se poursuit quotidiennement, et les forces de maintien de la paix sont conscientes des risques et pleinement engagées dans leur mandat et les tâches qui leur sont confiées ».
Source: Médias



