Les forces américano-britanniques ont mené une nouvelle agression contre la capitale yéménite et plusieurs autres gouvernorats.
Le porte-parole des forces armées yéménites, le général Yehya Sarii, a précisé que « l’aviation de l’agression américano-britannique a lancé 48 frappes au cours des dernières heures, réparties comme suit :
– 13 raids contre Amanat Al-Asimah et le gouvernorat de Sanaa.
– 9 raids contre le gouvernorat de Hodeïda.
– 11 raids contre le gouvernorat de Taez.
– 7 raids contre le gouvernorat d’Al Bayda.
-7 raids contre le gouvernorat de Hajjah.
– Un raid contre le gouvernorat de Saada ».
Et de réitérer : « Ces agressions ne nous dissuaderons pas de notre position morale, religieuse et humanitaire en faveur du peuple palestinien persévérant dans la bande de Gaza, et ne resteront pas sans riposte et sans punition ».
Selon CNN, des responsables américains ont déclaré que « les États-Unis, appuyés par le Royaume uni, ont mené 30 cibles contre Yémen dans 10 endroits ».
Le gouvernement britannique a déclaré que « l’armée de l’air avait participé à la 3ème vague de frappes contre des cibles militaires au Yémen », prétendant « qu’ il ne s’agit pas d’une escalade ».
Il convient de noter que les forces armées yéménites ont annoncé vendredi des tirs de missiles balistiques contre des cibles israéliennes spécifiques dans la ville occupée d’Umm al-Rashrash, dans le sud de la Palestine occupée.
Il convient de noter que l’agression américano-britannique contre le Yémen vient en soutien à « Israël » dans son agression contre la bande de Gaza, étant donné le front fort et influent que constitue Sanaa en ciblant les navires israéliens et ceux se dirigeant vers les ports d’occupation. Ce front de soutien à Gaza a nui à l’occupation, ainsi qu’à Washington et ses alliés, qui se sont empressés de créer une coalition sous prétexte de protéger la navigation internationale.