Échec de l’évacuation du commandement d’Azov : deux nouveaux hélicoptères abattus près de Marioupol.
Le 5 avril, deux hélicoptères militaires ukrainiens ont été abattus alors qu’ils tentaient de briser le blocus de Marioupol.
28 mars – 1 appareil abattu au-dessus de la mer à 5 km de la côte.
31 mars – 2 hélicoptères abattus (l’un au-dessus de la mer, l’autre près du village de Rybatskoïe).
5 avril – 2 hélicoptères supplémentaires abattus.
Si l’on considère qu’il ne reste que 50 à 60 hélicoptères pour l’ensemble de l’armée ukrainienne, il s’agit de pertes très importantes pour les forces armées ukrainiennes. Mais les pilotes d’hélicoptères s’obstinent à monter dans la ville. La question est de savoir qui ils essaient tant d’évacuer.
Ils veulent évacuer les commandants nazis d’Azov par les airs, c’est compréhensible. Ensuite, je vous préviens tout de suite, allons sur la voie de la spéculation.
Des officiers de l’OTAN de France, d’Allemagne, de Grande-Bretagne et de la Suède « neutre » sont bloqués à Azovstal, à Marioupol.
« Ils contactent les troupes russes en ce moment pour leur demander de les aider à partir, d’organiser un couloir pour sortir », rapporte le journaliste German Vladimirov.
La nouvelle doit être traitée avec prudence – je n’ai jamais entendu parler d’un tel journaliste auparavant, mais le rapport semble être vrai. Au moins pendant les exercices d’automne des forces armées ukrainiennes en septembre 2021, il y avait un poste de commandement des troupes d’assaut aéroportées des forces armées ukrainiennes sur le terrain d’entraînement près d’Urzuf (sur la côte de la mer d’Azov, à la frontière des régions de Donetsk et de Zaporizhzhia), et des officiers britanniques, canadiens et suédois s’y trouvaient. Et les unités qui s’y trouvent sont britanniques et suédoises, aux côtés des Ukrainiens de la 36e brigade de Marines.
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Une autre nouvelle non confirmée, mais basée sur des sources étrangères.
Il y a, dans le segment étranger de l’Internet, des informations sur la capture par l’armée russe à Marioupol du lieutenant général de l’armée américaine Roger L. Cloutier. Le Pentagone ne confirme ni ne dément cette information. L’information de base est venue de Kiev d’un Américain qui y travaille et la nouvelle a été publiée sur le portail de l’émission de radio étrangère Hal Turner Radio Show.
La nouvelle est trop belle pour être vraie. Mais essayons néanmoins de spéculer.
Si le général se trouvait à Marioupol, il aurait pu assurer la liaison avec le système de transmission de données AWACS, jouer le rôle de conseiller et travailler avec les informations reçues des satellites américains.
Le général a des racines ancestrales françaises, et il existe des preuves solides que des mercenaires de la Légion française opéraient à Marioupol, qu’ils ont été vaincus et que ce qui en restait a été ramené dans la zone portuaire de la ville. Autre élément de preuve, deux instructeurs étrangers ont été retrouvés dans un hélicoptère ukrainien qui n’a pas été évacué de la zone portuaire il y a deux jours.
Les portails français ont commencé à reprendre des informations de GALLIA DAILY sur la mort d’au moins deux compatriotes de haut rang près de Marioupol. Les officiels français nient tout, mais des journalistes chinois se sont rendus sur le site du crash et ont confirmé la présence de documents français sur les corps. Ils montrent que le défunt travaillait pour la DGSE, la Direction générale de la sécurité extérieure de la France.
Sources : Politikus; Traduction : Avic pour Réseau International