Les médias israéliens ont rapporté lundi que « la capacité balistique du Hezbollah est équivalente à celle de plusieurs pays européens réunis ».
Les médias israéliens ont affirmé : « Certains affirment que cela est lié à la puissance de feu la plus importante au monde. C’est l’organisation militaire la plus puissante au monde et elle possède une force balistique comprise entre 160 000 missiles et 200 000 missiles ».
Les responsables israéliens suivent les déclarations du Hezbollah « avec prudence et inquiétude », comme l’a déclaré le correspondant israélien de la Douzième chaîne : « Nous devons écouter ce que disent le Hezbollah et les responsables iraniens ».
La Douzième chaîne a exprimé l’inquiétude israélienne quant à la nature de la réponse du Hezbollah, en disant : » Si le Hezbollah n’a pas encore répondu à Israël, qu’en est-il de notre avenir à la lumière de la présence d’une force balistique sans précédent dans le monde ?
À la lumière de l’agression israélienne en cours contre Gaza, la chaîne israélienne Kan a affirmé : « Il semble que le Hezbollah essaie de confondre et d’empêcher les projets d’Israël d’une opération terrestre à Gaza ».
Le ministre israélien de la Sécurité, Yoav Galant, a admis que « mener une guerre sur le front nord n’est pas dans l’intérêt d’Israël », selon Reuters.
Cette déclaration intervient alors que la Résistance islamique au Liban continue de cibler les positions de l’armée d’occupation israélienne et ses véhicules à la frontière avec la Palestine occupée, en réponse aux attaques israéliennes contre des zones du sud du Liban, ciblant notamment des journalistes et des civils, ce qui a conduit à à un certain nombre de martyrs.
À cette époque, les médias israéliens rapportaient qu’il y avait une confusion au sein de l’armée israélienne quant au transfert ou non de forces supplémentaires vers le nord (la frontière libano-palestinienne).
Les médias israéliens ont affirmé vendredi « qu’ Israël connait sa plus grave crise de sécurité existentielle qui reflète un énorme échec politique, sécuritaire, militaire et de renseignement à la suite du déluge d’Al-Aqsa.
Commentant la rencontre entre le secrétaire général du Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah, et le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian, les médias israéliens ont déclaré : « Le Hezbollah a placé toutes ses forces de combat en état d’alerte maximale ».
Les médias israéliens ont indiqué que « la préparation dans les rangs du Hezbollah a atteint son apogée, en prévision du déclenchement d’un affrontement dans le nord.
Les médias israéliens ont souligné que « la détérioration d’une guerre totale pourrait conduire à un changement radical dans l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient », ajoutant que « le déclenchement de la tragédie du Jour Noir, samedi , a plongé Israël dans un choc massif ».
Le correspondant de la Douzième chaîne israélienne a décrit ce qui se passe dans le nord comme » simplement une guerre d’usure à la frontière libanaise », faisant référence à la grande escalade et à l’état de tension.
Pour sa part, la Treizième chaîne israélienne a rapporté : « Il existe un désaccord important au sein des dirigeants israéliens sur la manière de travailler dans le front nord, et ces délibérations ont eu lieu tout au long des derniers jours, de sorte qu’à la fin de la semaine, nous sommes parvenus à une sorte de décision décisive, et bien sûr, il y a de nombreuses décisions concernant cette question ».
Et d’ ajouter : « Le ministre de la Sécurité Yoav Galant a soutenu l’extension de la bataille dans le front nord, et le Premier ministre et d’autres ministres ont déclaré qu’ils s’opposaient à une escalade à ce stade ».
Pour sa part, le journal israélien Maariv a affirmé « qu’Israël se trouvait dans la crise de sécurité existentielle la plus dangereuse, dans laquelle les lignes rouges politiques, militaires et sécuritaires ont été violées », ajoutant que « ce qui s’est passé jusqu’à présent n’est qu’un avertissement dans une bataille dans laquelle Israël a été en quelque sorte entraîné ».
Selon les médias israéliens, Tel Aviv craint que « le Hezbollah et la Syrie n’entrent dans la bataille du déluge d’Al-Aqsa depuis le front nord , afin de soutenir les factions de résistance dans la bande de Gaza, ce qui entraînerait une pression accrue sur l’armée d’occupation, qui souffre de faiblesse et de discorde internes ».
Source: Médias