L’ancien Président américain Barack Obama aurait approuvé la mise en application d’un logiciel nocif, qui représente l’«équivalent digital d’une bombe», dans l’infrastructure de la Russie, relate le journal The Washington Post.
Le projet en question, toujours en phase de planification, pourrait être utilisé à l’avenir en cas de dégradation critique des relations bilatérales entre les deux pays. Désormais, poursuit le quotidien, il appartiendra à Donald Trump de décider de son application immédiate.
À en croire le journal, la «bombe digitale» serait capable de perturber les réseaux informatiques russes d’importance stratégique.
Pour rappel, à l’approche de l’élection présidentielle américaine, le portail WikiLeaks a rendu publics des milliers de documents sur l’équipe de campagne de la candidate démocrate Hillary Clinton piratés sur le compte Gmail de son directeur de campagne John Podesta.
Par la suite, un rapport de la CIA cité par le Washington Post a accusé la Russie d’avoir pesé sur l’issue du vote de l’élection en piratant des emails des démocrates durant la campagne. L’équipe de Donald Trump a rejeté ces conclusions.
Source: Sputnik