Les soldats russes ont décidé de vérifier les informations des rapports de l’ONU sur les hôpitaux « détruits » par les « bombardements » menés par la Russie, dans les territoires libérés d’Idleb (Syrie). Ils ont découvert qu’ils sont en fait intacts !
C’est la presse turque qui a publié à la veille de la rencontre entre Poutine et Erdogan, des extraits du rapport de la Commission de l’ONU sur les «frappes aveugles des forces aériennes russes ». Moscou est à nouveau accusée de bombarder des zones résidentielles, ce qui entraîne la destruction d’infrastructures civiles.
Il est presque impossible de vérifier ces informations sur le territoire contrôlé par les combattants [les terroristes – NDLR]. Mais grâce à l’offensive des troupes syriennes, les soldats russes ont eu l’occasion de voir de leurs propres yeux dans les villes libérées les bâtiments mentionnés dans le rapport du 12 février comme ayant été détruits par les frappes aériennes russes.
Les résultats de ce contrôle dans l’une des villes avec des photographies et des coordonnées ont été mis à la disposition de la rédaction :
Cependant, rien de nouveau. Tout cela, nous l’avons vécu plus d’une fois avec les « Casques blancs » et leurs « provocations chimiques » qui, à la libération des territoires, ont été démystifiées avec succès.
Par Alexandre Kots
Source : Komsomolskaya Pravda
Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider