Le président du Parlement libanais, Nabih Berri, pleure Sayed Nasrallah :
((Mon frère et commandant, c’est la première fois que tu pars sans prévenir. Je t’écris, étranglé par les larmes, moi qui avais tant envie de te voir. Mais les flammes du feu m’ont empêché de te voir. Je t’écris pour tes adieux mais les paroles me trahissent. Je suis brisé par ton départ en martyr. Serait-ce de la sorte que les souhaits sont exaucés. Toi dont le souhait suprême aura été de réaliser cet honneur… être martyr. Toutes les paroles qui pourraient être dites dans tes adieux ne sont pas à la hauteur de ta stature qui ne s’est prosternée que pour Dieu Loué Soit-Il. Toutes les paroles qui pourraient être dites ne sauraient exprimer ton amour pour ta patrie.))