Cheikh Qassem : Il y a ceux qui agressent et ceux qui sont agressés. Ils disent aux victimes de l’agression que la solution leur appartient, tandis que l’agresseur obtient tout ce qu’il désire. C’est inacceptable ! Il y a agression, et l’agression doit cesser.

Cheikh Qassem : Il y a ceux qui agressent et ceux qui sont agressés. Ils disent aux victimes de l’agression que la solution leur appartient, tandis que l’agresseur obtient tout ce qu’il désire. C’est inacceptable ! Il y a agression, et l’agression doit cesser. – Site de la chaîne AlManar-Liban

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vendredi , novembre 28 2025

Cheikh Qassem : L’ennemi n’atteindra pas ses objectifs tant que nous resterons fermes. Il ne nous infligera pas de souffrances sans en subir lui-même.
Cheikh Qassem : Les concessions ne font qu’enhardir l’ennemi. Il faut lui dire : Non. Par conséquent, les Israéliens ont leurs propres calculs et, en fin de compte, ils ne pourront pas faire tout ce qu’ils veulent.
Cheikh Qassem : L’opération de Beit Jinn prouve que le peuple syrien est sur une autre longueur d’onde ; il n’acceptera pas de capitulation face à Israël. C’est un indicateur positif et fiable.
Cheikh Qassem : Ils considèrent tout accord sécuritaire ou politique avec la Syrie comme dénué de sens. Ils prennent tout sans contrepartie, et personne ne les contredit.
Cheikh Qassem : Ce qu’il dit signifie qu’ils ont l’intention de le tuer et de poursuivre leur invasion de la Syrie.
Cheikh Qassem : Regardez l’exemple de la Syrie. La Syrie est devant vous. Ils n’ont rien laissé en Syrie et ont tout pris. Katz déclare alors ne pas faire confiance à Charaa et le qualifie d’ancien jihadiste
Cheikh Qassem : Le sang de nos martyrs ne sera pas versé en vain. Il est préférable que nos citoyens soient unis. Alors l’étranger se soumettra à notre volonté, le Liban en récoltera les fruits et nous parviendrons à un accord entre nous.
Cheikh Qassem : Et si tout cela échoue, que ferons-nous ? La réponse est claire : nous tiendrons bon et nous nous défendrons.
Cheikh Qassem : Allez voir Israël. Voilà la solution : une confrontation politique, culturelle et médiatique, dans l’unité, et par tous les moyens possibles, même militaires.
Cheikh Qassem : Le gouvernement peut reporter certaines questions litigieuses et incarner l’image de l’unité.

Cheikh Qassem : Il y a ceux qui agressent et ceux qui sont agressés. Ils disent aux victimes de l’agression que la solution leur appartient, tandis que l’agresseur obtient tout ce qu’il désire. C’est inacceptable ! Il y a agression, et l’agression doit cesser.

Depuis 37 minutes 28 novembre 2025

Cheikh Qassem : Il y a ceux qui agressent et ceux qui sont agressés. Ils disent aux victimes de l’agression que la solution leur appartient, tandis que l’agresseur obtient tout ce qu’il désire. C’est inacceptable ! Il y a agression, et l’agression doit cesser.

Chant: Faites trembler la terre

Ch. Qassem à l’occasion de la Journée de la mobilisation : Quand bien même les crises s’aggravent, elles s’apaiseront et le cycle de l’injustice prendra fin.

L’Ayatollah Khamenei : L’Iran a besoin plus que tout autre Etat des Bassidj pour faire face à l’ingérence des puissances étrangères

L’ayatollah Khamenei : Nous pourrons coopérer avec les États-Unis lorsqu’ils se retireront de la région et cesseront de soutenir l’entité sioniste

L’Ayatollah Khamenei, en réponse aux propos de Trump concernant la destruction de l’industrie nucléaire iranienne : Eh bien, vivez cette illusion!

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Cheikh Qassem : Il y a ceux qui agressent et ceux qui sont agressés. Ils disent aux victimes de l’agression que la solution leur appartient, tandis que l’agresseur obtient tout ce qu’il désire. C’est inacceptable ! Il y a agression, et l’agression doit cesser.

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