Le journal français Le Monde a révélé que le déplacement en France de Olena Zelenska, l’épouse du président ukrainien, et l’organisation de sa soirée caritative à la Salle Pleyel, et sa rencontre avec la première Dame de France Brigitte Macron est l’œuvre de l’agence de communication française Havas.
Cette agence, l’ancienne Euro RSCG, travaille en Ukraine depuis près de 20 ans. Elle est dirigée par Stéphane Fouks.
Il a à partir de cette date à entretenu des liens avec l’Ukrainien Viktor Pintchouk (Pinchuk), un oligarque considéré comme la deuxième fortune du pays, pour avoir profité des privatisations qui ont succédé à la chute de l’Union soviétique.
Cette agence avait alors confectionné sa campagne lorsqu’il a voulu se présenter aux élections législatives. Il a été durant deux mandats un membre élu du parlement ukrainien et un partisan du rapprochement entre l’Ukraine et l’Union européenne.
Entre 2009 et 2013, la fondation Victor Pintchouk a accordé un don d’au moins 8,6 millions de dollars à la Fondation Clinton. Y compris quand Mme Clinton était secrétaire d’Etat.
M. Pintchouk s’était engagé à partir de 2008, à verser sur cinq ans 29 millions de dollars à l’initiative mondiale Clinton, une branche de la fondation qui coordonne des projets caritatifs et les finance, mais ne manipule pas l’argent. Le dépôt visait à financer un programme pour apprendre aux futurs leaders ukrainiens et aux professionnels “à moderniser l’Ukraine” selon la Fondation Clinton. Plusieurs de ces anciens élèves sont devenus des membres du Parlement ukrainien.
Aussi bien Pintchouk et son sponsor en communications et relations publiques Fouks ont des liens avec ‘Israël’ et le sionisme.
Victor Pintchouk qui est né d’une famille ukrainienne de confession juive est le fondateur de YES, Yalta European Strategy, (La stratégie européenne de Yalta). Lors de sa 12eme réunion annuelle du 11 septembre 2015, à Kiev, elle avait convié Shimon Perez, qui était alors ex-président israélien, et qui avait alors tracé la voie que l’Ukraine devrait emprunter, en disant entre autres : « L’Ukraine devrait investir dans son avenir en développant la science et l’innovation plutôt que de « rechercher les cendres du passé ».
Quant à Stephane Fouks, fils d’un résistant communiste juif, Moïse Fouks (né à Odessa), né à Paris, il a participé au « comité sioniste de Tolbiac » au sein du Mouvement des Jeunes socialistes, pendant sa jeunesse. Depuis le , il est membre du Comité directeur et de l’Assemblée générale du Conseil représentatif des institutions juives de France, un lobby pro israélien d’une grande influence dans la vie politique française.
Source: Divers