Cheikh Qassem : Regardez l’exemple de la Syrie. La Syrie est devant vous. Ils n’ont rien laissé en Syrie et ont tout pris. Katz déclare alors ne pas faire confiance à Charaa et le qualifie d’ancien jihadiste
Cheikh Qassem : Le sang de nos martyrs ne sera pas versé en vain. Il est préférable que nos citoyens soient unis. Alors l’étranger se soumettra à notre volonté, le Liban en récoltera les fruits et nous parviendrons à un accord entre nous.
Cheikh Qassem : Et si tout cela échoue, que ferons-nous ? La réponse est claire : nous tiendrons bon et nous nous défendrons.