Les mises en garde concernant le réseau social connu sous le nom de « Facebook » n’ont jamais été prises au sérieux.
Certains de nos lecteurs croyaient, en toute bonne foi, que ces avertissements concernant ce danger existentiel à l’espèce humaine, émanaient d’une prise de position subjective, ou pire, un parti pris clairement opposé à la mainmise de ce réseau social dont l’origine réelle demeure inconnue du grand public.
La première mise en garde contre l’utilisation de cet « outil » nous a été adressée et exposée de façon brutale par des spécialistes dont l’existence même est officiellement niée par leur propres employeurs.
Quoique qu’il soit encore à un stade très primitif, le réseau social n’en constitue pas moins un danger réel aussi bien pour les individus que pour toute société organisée. Son évolution à moyen terme posera un danger existentiel à l’humanité.
Les récentes acquisitions de Facebook ont un objectif monopolistique. Sa sous-traitance pour des organismes opaques, poursuivant des agendas hautement politiques, idéologiques et sécuritaires, ne sont pas de nature à rassurer.
L’exploitation des mécanismes de l’addiction chez les humains, l’altération de leurs perceptions et la création d’une façade de relations publiques mensongères (car passant sous silence la véritable genèse et les vrais fondateurs du réseau) confèrent à Facebook un pouvoir réel de nuisance.
Sur un plan purement politique, certaines faction de ce que l’on appelle l’Etat profond et des lobbies chargés de la promotion des politiques néoconservatrices ou pour sortir du politiquement correct, pro-sionistes, tentent de propulser Marc Zuckerberg, le PDG par désignation de Facebook, le réseau social aux couleurs inamovibles du drapeau israélien, sur le devant de la scène politique mondiale en préparation de sa candidature éventuelle à la présidence américaine.
Les auditions médiatisées de cet individu par des commissions du Congrès US et du parlement européen sous des prétextes de protection des données suite à l’émergence contrôlée et organisée du scandale de Cambridge Analytica dans le cadre d’une lutte politique sans merci entre différentes factions du système de gouvernance transnational, ne visent pas autre chose que de le lancer sur l’arène internationale en tant que futur jeune candidat-dirigeant.
Facebook est un outil d’espionnage à plusieurs échelles, allant de la sphère privée des individus à celle publique des organisations et des corporations internationales. Il n’en est qu’à ses balbutiements pour le moment mais il peut par exemple déjà suivre vos mouvements à la trace grâce à vos smartphones même si vous n’êtes en possession d’aucun profil sur ce réseau.
Pire, Facebook dispose désormais d’un programme secret s’intéressant au plus haut point aux discussions banales et anodines de personnes ordinaires pouvant tourner autour de la météo, d’états d’âme, de salutations, de bavardages sans objet précis, de débilités, des jurons, d’onomatopées, de certaines tournures idiomatiques et même des échanges d’émoticons. A première vue, cet intérêt peut paraître banal. En réalité, ces dizaines de milliards d’inputs sémantiques alimentent des algorithmes auto-cognitifs et il a été établi que certaines inférences issues de l’observation et l’exploitation des chats privés en Syrie ou en Iran par exemple déterminent la réussite d’une révolution de type hybride ou une ingénierie sociale visant une déstructuration des rapports sociopolitiques au bénéfice d’une intervention exogène. Ces mêmes outils sont en usage avancés dans la plupart des pays européens et sont à l’état de prototype dans des pays arabes dit modérés. A quelles fins? Génération spontanée des dissensions, élargissement des clivages existants, création de nouveaux moteurs de motivation autour de thématiques sociétales (exemple de la campagne pas si spontanée #metoo axée autour du harcèlement avec un décalage vers la guerre des sexes).
Facebook veut à court terme lutter et supprimer tous les comptes qu’il qualifie de faux. C’est à dire avec pseudonymes. Cette volonté de se substituer aux états-civils et des bases de données biométriques des Etats-Nation contemporains est l’un des objectifs prioritaires de Facebook.
Encore que tout ceci n’est rien par rapport à ce qui se prépare. Après avoir commencé à vous baratiner sur la promotion de l’amitié (cela rappelle trop un des pilier de la franc-maçonnerie toutes proportions gardées), Facebook a failli vous demander si vous voulez être ami (e) avec Israël. C’est du passé. Facebook ambitionne maintenant de savoir le fond de vos pensées et s’apprête à investir l’espace pour y placer en orbite des satellites rendant impossible une déconnexion du réseau quand ce dernier l’exige.
Beaucoup de personnes ne prennent pas trop au sérieux ces menaces. Jusqu’au jour prochain où un drone d’attaque armés de missiles Hellfire utilisera les banques de données de Facebook et se trompera d’objectif en mettant à mort des personnes pour leur pensées secrètes. Ce sera peut-être vous ou moi ou toute autre personne anonyme.
C’est pour cela qu’il faut démanteler sinon réduire l’influence de ce réseau social dont l’alliance avec Google et les autres majors de l’internet nous conduira tout droit et avec le sourire vers un totalitarisme plus terrifiant que tous ceux que nous (nous l’ensemble des humains) avons connu tout au long de notre histoire mouvementée.
Si j’ai un conseil à vous donner maintenant, c’est de quitter Facebook immédiatement. Aucun profil crée sur ce réseau ne peut être supprimé. Par contre on peut refuser que nos données ne servent de monnaie virtuelle à des corporations aux motivations peu claires et aux intentions pas du tout pacifiques.
Il est grand temps de démanteler ce réseau sous peine de condamner nos enfants à vivre dans un esclavage plus abject que celui que nous croyons concevoir.
Source : Strategica