Et c’est reparti pour un tour. Sonnés par la reprise d’Alep en décembre dernier, les atlantistes n’avaient plus trop le cœur à l’ouvrage pour soutenir encore leurs «coupeurs de tête modérés» en Syrie. L’arrivée d’un Trump annoncé comme mieux disposé à l’égard de Moscou avait aussi ajouté à la torpeur ...