Le commandant de la force Qods des Gardiens de la révolution iraniens, le général Ismail Qaani, a inspecté les zones touchées par le tremblement de terre qui a frappé le nord et l’ouest de la Syrie à l’aube du lundi 6 février.
Des séquences vidéo ont montré le commandant de la Force Qods visitant l’un des refuges pour les familles touchées par le tremblement de terre et inspectant les efforts de secours iraniens, qui figuraient parmi les premiers dépêchés en Syrie.
قائد قوة القدس في حرس الثورة الإيراني، العميد #إسماعيل_قاآني، يتفقد المناطق المنكوبة من جراء الزلزال الذي ضرب شمالي وغربي #سوريا، ويزور مركز إيواء في #حلب.#زلزال_سوريا#زلزال_تركيا_سوريا#زلزال_شرق_المتوسط#تركيا_سوريا pic.twitter.com/c2szvPcOmv
— قناة الميادين (@AlMayadeenNews) February 8, 2023
Le centre accueillant les rescapés avait été ouvert « comme un cadeau de la République islamique d’Iran au peuple syrien frère affligé ».
قائد قوة القدس في حرس الثورة الإيراني العميد #إسماعيل_قاآني، يصل مدينة #حلب في #سوريا لتفقد المناطق المنكوبة ومتابعة عمليات الإغاثة.#زلزال_سوريا #زلزال_تركيا_سوريا#إيران#زلزال_شرق_المتوسط#تركيا_سوريا pic.twitter.com/TCenGDj8wh
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L’aide iranienne continue d’affluer en Syrie. Le premier avion a atterri à l’aéroport de Damas quelques heures après le tremblement de terre, transportant environ 45 tonnes d’aide alimentaire, médicale et de secours.
Mardi, un deuxième avion d’aide iranien avait atterri à l’aéroport international d’Alep, transportant 20 tonnes de matériel médical et de denrées alimentaires.
Le président iranien Ibrahim Raisi a affirmé, lors d’un appel téléphonique avec son homologue syrien Bachar al-Assad, que « l’Iran, fondé sur les relations stratégiques qui unissent les deux pays, et basé sur des principes humanitaires, ne peut que faire preuve de solidarité avec le peuple syrien dans ces circonstances impérieuses. »
Il convient de noter que l’aide iranienne est fournie en dépit d’un blocus américain et occidental contre la Syrie, la plupart des pays du monde s’étant abstenus d’accorder de l’aide aux régions syriennes touchées invoquant les sanctions américaines ou la « loi César » contre Damas.