Dans le camp de Balata, les murs des venelles grisâtres sont tatoués d’affiches à l’effigie de Hatem Abou Rizk, tombé dans le cadre des tensions grandissantes entre factions palestiniennes qui se préparent à un monde sans le président Mahmoud Abbas. Le 31 octobre, un entrefilet s’invite dans les médias palestiniens: ...