Dans la bijouterie Al-Abdoul Wahab, les diamants scintillent dans les vitrines, mais les affaires ont perdu de leur éclat car les Saoudiens hésitent à ouvrir leur porte-monnaie, austérité oblige. « Par rapport à l’an dernier, l’affluence est très faible », se désole Saddam al-Yafae, un vendeur de cette bijouterie de la rue ...