Les agences de renseignement américaines ont reconnu, sur la base de la réalité du terrain, que « l’accord de cessez-le-feu reste la meilleure opportunité pour le retour des Israéliens vers le nord (le nord de la Palestine occupée), selon le journal américain New York Times.
Un constat qui intervient alors que des responsables américains ont affirmé « qu’ Israël n’a pas réussi à éliminer les missiles à courte portée tirés par le Hezbollah vers les colonies du nord ».
Les responsables américains ont souligné que « tant que les tirs de roquettes se poursuivent, la campagne israélienne ne pourra pas atteindre l’un de ses principaux objectifs, à savoir: sécuriser le nord afin que des dizaines de milliers d’Israéliens puissent rentrer », selon New York Times.
Les responsables ont noté que « l’échec d’Israël à réduire la menace des missiles à courte portée a provoqué des pressions sur son gouvernement pour qu’il adopte un cessez-le-feu et cesse les hostilités au moins temporairement ».
Contrairement à l’échec « d’Israël », les responsables américains ont noté que « le Hezbollah n’a pas pleinement déployé ses vingt et quarante mille combattants, malgré les opérations spécifiques et les embuscades menées par la résistance à la frontière, face aux forces d’occupation et infligeant de lourdes pertes dans ses rangs ».
« Cela a suscité des inquiétudes parmi les responsables américains quant au fait que « le Hezbollah se prépare à lancer une campagne de guérilla à long terme contre les forces israéliennes, en particulier dans le sud du Liban », selon ce que rapporte le New York Times.
Dans un contexte connexe, les médias israéliens ont cité des sources dans la région du nord qui ont vivement critiqué les opérations de l’armée israélienne, appelant l’état-major à mettre fin aux incursions dans le sud du Liban.
Source: Médias