En octobre dernier, Moscou et Damas ont accepté une énième trêve «humanitaire» voulue par l’Oncle Sam pour sauver ses barbus coincés dans la poche d’Alep-Est. Durant plus de 3 semaines, la Russie n’a opéré aucune frappe aérienne, se contentant d’effectuer un méticuleux travail de renseignement tout en organisant des couloirs ...