À l’approche de la Convention Nationale Démocrate (DNC), des manifestations massives ont eu lieu dans la ville américaine de Chicago pour exiger la fin de l’armement d’Israël et la fin de la guerre dans la bande de Gaza.
En échange de justes revendications, la police américaine a utilisé la force contre les manifestants qui réclamaient la fin du génocide dans la bande de Gaza.
La répression des manifestants révèle la fausseté des affirmations de l’administration américaine quant à sa volonté de parvenir à un cessez-le-feu et de protéger les civils dans la bande de Gaza.
Dans ce contexte, Philip Gordon, a déclaré plus tôt que « la candidate démocrate à la présidentielle, Kamala Harris, ne soutient pas une interdiction du flux d’armes vers Israël ».
Gordon a déclaré dans un message sur la plateforme X: « Harris ne soutient pas l’arrêt du transfert d’armes vers Israël comme moyen de faire pression sur l’administration de Benjamin Netanyahu dans sa guerre contre la bande de Gaza. »
Les États-Unis ont été témoins de manifestations presque quotidiennes, dont celles des universitaires, exigeant qu’ils cessent d’armer ‘Israël’ et exerce des pressions afin de mettre fin à la guerre israélienne contre la bande de Gaza.
Dans ce contexte, le journal américain The Wall Street Journal a confirmé que les protestations des étudiants au sein des universités américaines, contre la guerre israélienne dans la bande de Gaza, poussent les présidents d’université à la démission.
Le journal constate que « diriger une université prestigieuse pendant la guerre actuelle au Moyen-Orient est devenu l’un des métiers les plus difficiles aux Etats-Unis ».
« Les présidents de cinq universités ont jusqu’à présent démissionné, et les présidents des autres ont passé l’été à adopter des règles plus strictes pour éviter une répétition de ce qui s’est produit au printemps, lorsque les universités US ont été témoins de manifestations, de campements et d’arrestations », a rapporté le WSJ.