Après le covidisme délirant, puis l’ukrainisme obligatoire, on voudrait nous embarquer dans l’iranophobie forcenée. Mais ce n’est pas si facile. Le prétexte initial choisi relève de la mode dans l’art de la coiffure à l’iranienne. Les jeunes filles iraniennes portent le voile très haut, comme une tiare, avec une grâce ...