Le président panaméen, José Raúl Molino, a nié que « son pays ait été utilisé pour mener une quelconque action hostile contre le Venezuela.
Molino a expliqué que « l’entraînement des troupes américaines sur le sol panaméen s’inscrit dans le cadre d’accords de coopération bilatéraux entre le Panama et les États-Unis », soulignant que « ces exercices ne constituent aucune menace pour les pays voisins et ne représentent aucune activité hostile envers le Venezuela ».
Ces déclarations interviennent dans un contexte d’inquiétudes croissantes concernant la présence des forces américaines en Amérique centrale et la crainte que ces bases ne soient utilisées pour s’ingérer dans les affaires des pays voisins, notamment le Venezuela.
Source: Médias



